Le pouvoir d'un chocolat chaud...[Pv qui veut =) ]

La tête dans les étoiles, le regard dans le vide, le moral dans les chaussettes et le cœur à la mer, la jeune Collen avança, sans vraiment savoir sa destination. Elle était perdue. Perdue dans ses pensées, et perdue dans la ville. Quel était le bon choix ? Quel était le bon chemin ? S'apercevant qu'elle arrivait dans un cul de sac, la jeune femme décida de relever le visage. Un Café. Ca tombe bien. La jeune mannequin à besoin d'un petit réconfortant. Un homme ? Non, ca serait la meilleure solution, mais elle opta pour un chocolat chaud. Le temps n'était pas des plus plaisants, le ciel gris et la pluie tuait le moral de la belle. Elle s'approcha timidement vers le comptoir, posa ses deux jolies main sur la plate forme et prit la parole.

- "Un chocolat chaud, s'il vous plait."
- "Tout de suite mademoiselle."

Sentant des regards sur elle, la jeune femme ne put s'empêcher de baisser le visage. Il est vrai que, pourtant, elle devrait ne plus y prêter attention. Mais Collen ne supporter pas être regarder. Attendant patiemment son chocolat, la jeune femme en profita pour jeter un furtif coup d'œil au bar. C'était spacieux, il faut dire que la décoration était de très bon gout. Le serveur la fit sortir de sa contemplation.

- "Et voilà...Mademoiselle."
- "Je vous remercie."

Cherchant d'une main son porte feuille dans la poche de son grand manteau noir, c'est seulement au bout de quelques minutes qu'elle y parvena. Affichant un sourire désolé, elle tendit un billet au serveur.

-"Gardez la monnaie...Pour l'attente"

Après le sourire désolé, elle offrit un de ses plus beaux sourire au serveur. Sans lui laissait le temps de répondre, Collen prit la tasse de chocolat, puis partie s'assoir à une table, sur des sièges de velours rouges. Elle avait repéré la place dès le départ. Près de la fenêtre. La jeune femme aimait regarder la vie de dehors, sous un autre angle. Mélancolique, c'est avec un long soupire et un sourire forcé qu'elle regarda sa tasse de chocolat. Il faillait l'avouer : La belle détestait la solitude...

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